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nomade no mad

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Les nomades numériques sont un véritable phénomène de société.

The economist avait sorti un bon article en avril sur cette nouvelle façon de vivre. Des groupes facebook ou linkedin se fédèrent autour du ‘digital nomadism’. Pour autant à l’intérieur des ces mêmes groupes, la définition du déplacement reste flou.

Doit on voyager pour être un nomade digital? non, être délocalisé suffit que ce soit sur une île comme ici ou à la maison.

Une notion plus importante est l’addiction au flux internet, au moyen de recevoir et d’émettre sous toutes ses formes. Il faut être connecté(e)! de partout de préférence! tout le temps c’est mieux.

D’un point de vue matériel cela se traduit comme ceci:

On a le smartphone 3G avec forfait internet illimité et wifi intégré, le portable et le netbook…mais aussi des adaptateurs wifi dès fois que l’ordinateur n’ait pas de port éthernet disponible etc

D’ailleurs j’émets un souhait, je voudrais un laptop avec

- un petit clavier ergonomique qui offre des sorties son, vidéo et les ports usb,

- un « écran » holographique tactile à taille et forme paramétrables,

- une connection intégrée dans la batterie par PLC

- une connection wireless cellulaire (type téléphone portable, je ferais un billet sur ces technos d’ici peu).

Le tout qui fasse environ 1kg.

Comme ça je serais tout le temps connectée! Je remercie Mr Pete Cashmore qui illustre mon propos quasiment en temps réel et en anglais ici. Il prend l’excuse du travail pour être connecté. Je reconnais  que si on ne travaille pas on a moins de chose a émettre sur le net et il connaît son sujet…M Cashmore est un gros travailleur mais c’est surtout un addict: on ne me la fait pas!

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